Chirurgie orthopédique : retrouvez mobilité et confort




Découvrez votre plan de traitement personnalisé !
VOTRE CHIRURGIE EN 3 ÉTAPES
1
Prenez RDV avec votre chirurgien
2
Cédulez votre intervention
3
Profitez de votre séjour
N'attendez plus pour en savoir plus !
Nos interventions de chirurgies orthopédiques
L’arthrose de la hanche est une cause fréquente de douleurs chroniques et de limitation de la mobilité. Lorsque les traitements médicaux comme les antalgiques, les infiltrations ou la rééducation ne suffisent plus, une intervention chirurgicale peut être proposée afin de restaurer la fonction articulaire et d’améliorer durablement la qualité de vie.

La chirurgie consiste à remplacer l’articulation usée par une prothèse totale de hanche, composée de pièces biocompatibles (métal, céramique, polyéthylène). Cette intervention permet de soulager la douleur, de retrouver une mobilité satisfaisante et de favoriser un retour à l’autonomie dans les activités quotidiennes.
Elle est indiquée en cas d’arthrose sévère, de fractures du col du fémur ou de certaines pathologies inflammatoires. La récupération s’appuie sur une mobilisation précoce et une rééducation adaptée, souvent initiées dès le lendemain de l’opération.
Avec Medcare Vacances, les patients bénéficient d’un accompagnement complet et structuré :
Délais raccourcis : une prise en charge rapide, sans liste d’attente prolongée, pour intervenir au moment opportun.
Tarifs compétitifs : des coûts réduits par rapport à certains pays, tout en garantissant des standards de qualité médicale élevés.
Forfait global : organisation intégrale incluant l’intervention, l’hébergement, les soins post-opératoires et le suivi médical, pour une convalescence sécurisée.
Cette approche vise à allier expertise chirurgicale, confort et accessibilité, afin de permettre un retour progressif à la mobilité et à une vie active.
.
Quelle est la complication la plus courante de la chirurgie de la hanche ?
Parmi les complications les plus fréquentes après une chirurgie de la hanche, la thrombose veineuse profonde (TVP) occupe une place importante. Il s’agit de la formation de caillots sanguins dans les veines profondes des jambes, favorisée par l’immobilisation post-opératoire.
Elle peut entraîner une embolie pulmonaire, complication grave qui nécessite une prise en charge en urgence. D’autres complications possibles incluent :
La luxation de la prothèse, surtout dans les premières semaines après l’intervention ;
Les infections du site opératoire ou autour de l’implant ;
Les phlébites des membres inférieurs ;
Une inégalité de longueur des jambes ;
Plus rarement, des lésions nerveuses.
La prévention de ces complications repose sur plusieurs mesures combinées : traitement anticoagulant préventif, mobilisation précoce, port de bas de contention et suivi rigoureux post-opératoire.
Quelle convalescence après une prothèse de hanche ?
La convalescence après une chirurgie de la hanche varie selon l’âge, l’état de santé du patient et la technique chirurgicale utilisée. En règle générale :
La reprise de la marche avec appui est possible dès le lendemain de l’intervention, avec l’assistance d’un kinésithérapeute.
Une rééducation active est débutée précocement afin de récupérer la mobilité et prévenir les complications.
Une amélioration fonctionnelle nette est constatée dans les 4 à 6 premières semaines.
La reprise d’activités quotidiennes (conduite, escaliers, etc.) est envisageable entre 6 et 8 semaines post-opératoires.
La durée totale de la convalescence peut s’étendre sur 2 à 3 mois, avec un suivi régulier en consultation. Le respect des consignes post-opératoires est essentiel pour éviter les complications et favoriser une récupération optimale.
Quelle est la meilleure période pour se faire opérer de la hanche ?
La décision d’opérer repose avant tout sur l’état clinique du patient, et non sur une saison spécifique. L’intervention est indiquée lorsque la douleur devient persistante, limite les déplacements et ne répond plus aux traitements médicaux conservateurs (antalgiques, infiltrations, kinésithérapie).
Cela dit, une chirurgie programmée en période hors épidémies hivernales ou avant l’été peut faciliter la récupération grâce à des conditions climatiques favorables et une meilleure disponibilité des services de rééducation. Une évaluation préopératoire permet de planifier l’intervention en fonction du contexte médical et personnel du patient.
Quel est le temps d’hospitalisation pour une prothèse de hanche ?
La durée moyenne d’hospitalisation après une prothèse totale de hanche est de 2 à 5 jours. Dans certains centres spécialisés, une prise en charge en chirurgie ambulatoire peut être proposée, permettant un retour à domicile le jour même ou le lendemain de l’intervention, sous conditions strictes de sécurité.
Les critères de sortie sont les suivants :
Autonomie suffisante pour la marche avec appui ;
Douleur post-opératoire bien contrôlée ;
Absence de complications immédiates.
Un protocole de suivi à domicile est systématiquement mis en place, souvent accompagné de séances de kinésithérapie.
Combien de temps dure la douleur après une prothèse de hanche ?
La douleur post-opératoire est normale et fait l’objet d’une prise en charge anticipée. Elle est généralement la plus intense dans les 48 premières heures, puis diminue rapidement grâce à l’association d’antalgiques, d’anti-inflammatoires et à la mobilisation précoce.
À 1 semaine, la douleur est significativement réduite ;
À 3 à 4 semaines, la majorité des patients ne ressent plus qu’une gêne modérée ;
À 3 mois, une grande partie des patients ne présente plus de douleurs résiduelles.
Toute douleur persistante ou croissante après cette période nécessite un avis médical pour éliminer une complication.
Quelle est la complication la plus courante du remplacement de la hanche ?
Dans le cadre d’un remplacement de prothèse de hanche (révision), la complication la plus fréquente est le descellement de l’implant, qu’il soit mécanique (lié à l’usure) ou infectieux. Cette complication est plus fréquente que lors de la première pose.
On peut également observer :
Des luxations récidivantes liées à une perte de stabilité articulaire ;
Une inégalité de longueur des jambes accentuée par les réinterventions ;
Des fractures péri-prothétiques lors du retrait ou de la mise en place du nouvel implant ;
Un risque infectieux accru, nécessitant parfois une reprise chirurgicale multiple.
La prise en charge doit être effectuée dans un centre expert en chirurgie orthopédique complexe.
Quelles sont les suites d'une opération de la hanche ?
Les suites opératoires d’une prothèse totale de hanche sont généralement bien maîtrisées, grâce à des protocoles de récupération améliorée. Elles se déroulent en plusieurs phases :
Phase immédiate (jours 1 à 3) :
Surveillance post-anesthésique en unité de soins.
Mise en place d’un traitement anticoagulant préventif.
Début de la mobilisation avec l’aide d’un kinésithérapeute dès le lendemain de l’intervention.
Gestion active de la douleur par traitement adapté.
Phase de convalescence précoce (semaines 1 à 4) :
Retour à domicile ou en centre de rééducation.
Poursuite des exercices de rééducation.
Surveillance des cicatrices et du risque infectieux.
Adaptation de l’environnement de vie pour sécuriser les déplacements (barres d’appui, chaise de douche, etc.).
Phase de récupération fonctionnelle (mois 1 à 3) :
Reprise progressive des activités courantes (marche sans canne, conduite, escaliers).
Bilan de contrôle post-opératoire.
Éventuelle reprise du travail selon le type d’activité.
Un suivi médical est indispensable durant toute cette période pour détecter d’éventuelles complications et optimiser la récupération. Les consignes post-opératoires doivent être strictement respectées pour garantir le succès de l’intervention.
L’usure progressive du genou peut entraîner des douleurs persistantes et une perte de mobilité, rendant difficiles des gestes quotidiens comme se lever, marcher ou utiliser les escaliers. Lorsque la gêne devient invalidante malgré les traitements médicaux, la mise en place d’une prothèse du genou peut être envisagée afin de restaurer la fonction articulaire et soulager durablement la douleur.

Cette intervention consiste à remplacer les surfaces articulaires endommagées par des implants biocompatibles, ajustés au fémur et au tibia. La prothèse de genou permet ainsi de stabiliser l’articulation, de corriger l’alignement du membre inférieur et de réduire significativement les douleurs chroniques.
Elle est principalement indiquée en cas de gonarthrose sévère, de déformation articulaire ou d’échec des traitements conservateurs (rééducation, infiltrations, antalgiques). La rééducation post-opératoire débute précocement, favorisant une récupération progressive de la mobilité et de la force musculaire.
Avec Medcare Vacances, les patients bénéficient d’un accompagnement complet et personnalisé :
Délais réduits : une prise en charge rapide, sans attente prolongée, afin d’intervenir au moment opportun ;
Coûts maîtrisés : des tarifs compétitifs par rapport à de nombreux pays, tout en respectant les standards médicaux internationaux ;
Forfait global : organisation incluant l’intervention, l’hébergement, les soins post-opératoires et le suivi médical, pour une convalescence encadrée.
Cette approche permet d’associer expertise chirurgicale, sécurité et accessibilité, afin d’offrir au patient de meilleures perspectives de mobilité et de qualité de vie.
Quand marcher après une opération du genou ?
La reprise de la marche se fait en général le jour même ou le lendemain de l’intervention, sous la supervision d’un kinésithérapeute. L’appui est souvent autorisé dès les premières heures, avec l’aide de cannes ou d’un déambulateur. Cette mobilisation précoce permet de réduire le risque de complications, notamment thrombotiques, et de favoriser une récupération plus rapide de l’autonomie.
Quels sont les critères d'éligibilité pour bénéficier d'une prothèse totale du genou avec Medcare Vacances ?
La durée de la convalescence varie selon l’âge, l’état de santé général et le type de prothèse posée. En moyenne :
3 à 6 semaines pour reprendre les activités quotidiennes simples (marche, toilette, déplacements légers) ;
2 à 3 mois pour une récupération fonctionnelle stable ;
6 mois à 1 an pour retrouver un niveau optimal selon les cas.
Une rééducation régulière et encadrée est indispensable pour optimiser les résultats.
Est-ce que l'opération du genou est douloureuse ?
Comme toute chirurgie orthopédique, une douleur post-opératoire est fréquente, notamment dans les premiers jours. Cependant, elle est généralement bien maîtrisée grâce à des protocoles antalgiques multimodaux (anesthésie locorégionale, analgésiques, glaçage). La douleur tend à diminuer progressivement avec la rééducation, souvent dès la première semaine.
Quel est le problème le plus fréquent après un remplacement du genou ?
Les complications les plus fréquentes sont :
Raideur articulaire persistante (limitant l’amplitude du genou),
Douleurs prolongées au-delà de 3 mois,
Thrombose veineuse profonde (TVP), nécessitant une prévention efficace dès les premières heures,
Moins fréquemment : infections, descellement de l’implant ou malposition.
Un bon suivi post-opératoire permet de limiter ces risques et de réagir rapidement en cas de problème.
Quelles sont les suites d'une opération du genou ?
Les suites opératoires immédiates incluent :
Une hospitalisation de 3 à 5 jours en moyenne,
Une rééducation débutée dès le lendemain de l’intervention,
Un retour à domicile ou en centre selon le niveau d’autonomie.
Les semaines suivantes, le patient poursuit un programme de rééducation personnalisé pour regagner force musculaire, stabilité et mobilité. Le genou reste parfois gonflé ou sensible durant plusieurs semaines, ce qui est normal. Un suivi régulier avec le chirurgien est recommandé.
L’articulation de l’épaule est essentielle pour les gestes du quotidien, mais aussi particulièrement exposée aux lésions et aux pathologies dégénératives. Lorsque les douleurs deviennent chroniques ou que la mobilité est fortement réduite, une prise en charge chirurgicale peut être envisagée.

Selon le diagnostic, plusieurs interventions sont possibles : réparation de la coiffe des rotateurs, stabilisation de l’épaule instable, ou encore remplacement prothétique en cas de destruction articulaire avancée. Ces traitements ont pour objectif de restaurer une fonction optimale, tout en réduisant durablement les douleurs.
Les interventions sont indiquées lorsque les traitements médicaux (kinésithérapie, infiltrations, antalgiques) ne suffisent plus à améliorer la qualité de vie du patient. La chirurgie permet alors un réel gain fonctionnel, avec un retour progressif à l’autonomie.
Avec Medcare Vacances, les patients accèdent à une prise en charge complète et organisée :
Délais réduits : un accès rapide à la chirurgie permet de limiter la progression de la douleur et de raccourcir les périodes d’arrêt ;
Tarifs accessibles : les soins orthopédiques, réalisés par des chirurgiens expérimentés, sont proposés à des coûts compétitifs sans compromis sur la qualité ;
Forfait tout compris : la prise en charge intègre la chirurgie, l’hébergement, les soins post-opératoires, la rééducation et le suivi médical, pour une convalescence encadrée dans des conditions optimales.
Cette approche globale permet aux patients de bénéficier d’un accompagnement personnalisé, centré sur la récupération de la mobilité, le soulagement durable de la douleur et la reprise des activités quotidiennes.
Quand faut-il opérer de l'épaule ?
Une intervention chirurgicale est envisagée lorsque les douleurs de l’épaule deviennent chroniques, que la mobilité est limitée et que les traitements médicaux n’apportent plus d’amélioration. Les indications les plus fréquentes sont :
Déchirure massive de la coiffe des rotateurs,
Instabilité récidivante de l’épaule,
Arthrose sévère (omarthrose),
Conflit sous-acromial résistant à la rééducation.
La décision d’opérer repose sur un bilan clinique, radiologique, et une évaluation fonctionnelle précise.
Combien de temps dure la convalescence après une opération de l'épaule ?
La convalescence dépend du type de chirurgie réalisée. En moyenne :
4 à 6 semaines d’immobilisation relative (écharpe ou attelle) ;
2 à 3 mois de rééducation fonctionnelle progressive ;
6 mois ou plus pour un retour complet à certaines activités physiques ou professionnelles, selon les cas.
La récupération est progressive, et un suivi régulier est essentiel pour optimiser le résultat.
Quelle est la chirurgie de l’épaule la plus difficile à récupérer ?
La réparation de la coiffe des rotateurs (notamment en cas de rupture massive) et la prothèse totale inversée d’épaule sont les interventions qui demandent le plus de patience. La raideur, la douleur post-opératoire et la lente récupération musculaire peuvent prolonger le processus. Une rééducation bien encadrée est indispensable pour retrouver une bonne mobilité et une force fonctionnelle satisfaisante.
Quels sont les inconvénients de la chirurgie de l'épaule ?
Comme toute chirurgie, celle de l’épaule comporte certains risques et limites :
Douleurs résiduelles ou temporaires,
Raideur articulaire persistante,
Complications rares : infection, hématome, lésion nerveuse, échec de réparation,
Durée de récupération parfois longue.
Un bon bilan pré-opératoire, un choix de technique adaptée, et un suivi rigoureux réduisent significativement ces inconvénients.
Est-ce que l'opération de l'épaule fait mal ?
Une douleur post-opératoire est fréquente, surtout dans les premiers jours. Elle est prise en charge efficacement par des traitements antalgiques adaptés, éventuellement complétés par une anesthésie locorégionale ou un bloc nerveux. Le respect des consignes post-opératoires et une rééducation douce permettent de limiter l’intensité et la durée de l’inconfort.
Les pathologies de la colonne vertébrale peuvent entraîner des douleurs chroniques, des troubles de la posture ou des irradiations nerveuses affectant les bras ou les jambes. Lorsque les traitements conservateurs ne suffisent plus, une prise en charge chirurgicale peut être envisagée pour améliorer durablement la qualité de vie.

Les interventions les plus fréquentes concernent les hernies discales, le canal lombaire étroit, les instabilités vertébrales ou certaines malformations dégénératives. Le geste chirurgical dépend de la localisation de la lésion (cervicale, dorsale, lombaire) et de sa nature. Il peut s’agir d’une décompression nerveuse, d’une arthrodèse (fusion vertébrale), ou d’une chirurgie mini-invasive.
Ces opérations ont pour but de soulager les douleurs persistantes, d’éviter l’aggravation neurologique et de restaurer une mobilité plus confortable dans les gestes du quotidien.
Avec Medcare Vacances, les patients accèdent à un parcours de soins structuré et sécurisé :
Délais réduits : la prise en charge est rapide, ce qui permet d’intervenir avant que les troubles ne s’aggravent ;
Tarifs compétitifs : les interventions du rachis sont proposées à des coûts inférieurs à ceux pratiqués dans de nombreux pays, sans compromis sur la qualité technique ni sur le suivi post-opératoire ;
Forfait tout compris : le séjour intègre l’intervention, les bilans pré-opératoires, l’hébergement médicalisé, les soins de suite, la rééducation et le suivi spécialisé.
Cette approche vise à associer sécurité, confort et expertise médicale, afin de permettre un retour progressif à la mobilité et à l’autonomie.
Quelles sont les opérations du rachis proposées ?
Les interventions les plus courantes comprennent :
La discectomie : retrait d’une hernie discale comprimant un nerf,
La laminectomie : décompression du canal rachidien en cas de canal lombaire étroit,
L’arthrodèse (ou fusion vertébrale) : stabilisation d’un segment mobile ou instable,
D’autres techniques mini-invasives adaptées aux atteintes cervicales, dorsales ou lombaires.
Chaque intervention est définie en fonction du diagnostic précis, des imageries et de l’état neurologique du patient.
Combien de temps dure la convalescence après une chirurgie du rachis ?
La récupération varie selon le type de chirurgie, la zone opérée et l’état général du patient. En moyenne :
1 à 2 semaines de repos relatif post-opératoire ;
6 à 8 semaines pour la reprise des activités légères ;
3 à 6 mois pour un retour progressif à la normale, voire plus dans les cas complexes.
La rééducation et le suivi post-opératoire sont essentiels pour optimiser le résultat fonctionnel et prévenir les complications.
Quels sont les critères d’éligibilité à la chirurgie du rachis ?
La chirurgie est envisagée lorsque :
Les douleurs sont chroniques, invalidantes et résistent aux traitements médicaux ;
Une atteinte neurologique est détectée (sciatique paralysante, trouble de la marche, engourdissement) ;
Les examens d’imagerie (IRM, scanner) objectivent une compression, instabilité ou dégénérescence structurale ;
Le patient est médicalement apte à subir une intervention (bilan sanguin, cardiaque, anesthésique satisfaisant).
Un bilan préopératoire rigoureux est indispensable avant toute indication opératoire.
Quels sont les risques associés à la chirurgie du rachis ?
Comme toute intervention, elle comporte des risques, même s’ils restent rares :
Infections du site opératoire,
Saignements ou hématomes,
Lésion nerveuse (exceptionnelle mais possible),
Douleurs persistantes ou insuffisance de soulagement,
Complications mécaniques (mauvaise consolidation, migration d’implants en cas d’arthrodèse).
Une équipe expérimentée et un protocole de soins strict permettent de limiter ces risques.
Quelles sont les suites d’une chirurgie du rachis ?
Les suites dépendent du geste chirurgical réalisé :
Hospitalisation de 2 à 5 jours en moyenne ;
Mobilisation précoce sous contrôle médical ;
Reprise douce des activités avec port éventuel d’un corset ou ceinture lombaire ;
Suivi médical post-opératoire et rééducation adaptée.
Les douleurs post-opératoires sont normales les premiers jours, mais diminuent progressivement avec le repos et les soins adaptés.
Est-ce que la chirurgie du rachis est douloureuse ?
Une douleur modérée à intense peut survenir dans les suites immédiates, mais elle est prise en charge de manière anticipée par des protocoles antalgiques spécifiques (médicaments, infiltration, repos postural). La douleur s’atténue généralement au fil des jours. Le respect des consignes post-opératoires et une bonne rééducation permettent d’en limiter la durée et l’intensité.
FAQ Chirurgies orthopédiques - vos questions, nos réponses
Qu'est-ce que la chirurgie orthopédique ?
La chirurgie orthopédique est une spécialité médicale qui traite les affections de l’appareil locomoteur : os, articulations, ligaments, tendons et muscles. Elle concerne aussi bien les maladies dégénératives (arthrose), les traumatismes (fractures, entorses graves), que certaines malformations congénitales ou atteintes rachidiennes. Son objectif est de soulager la douleur, restaurer la mobilité et améliorer la qualité de vie.
Quels sont les problèmes orthopédiques les plus courants ?
Les motifs fréquents de prise en charge sont :
L’arthrose des grandes articulations (hanche, genou, épaule) nécessitant parfois une prothèse,
Les fractures et traumatismes osseux,
Les ruptures tendineuses (coiffe des rotateurs, tendon d’Achille),
Les déformations de la colonne vertébrale (scoliose, hernie discale, canal lombaire étroit),
Les lésions sportives et ligamentaires (entorses graves, rupture du ligament croisé).
Quand a-t-on besoin d'une chirurgie orthopédique ?
Une intervention chirurgicale est envisagée lorsque :
Les douleurs deviennent chroniques et invalidantes,
Les traitements médicaux et rééducatifs ne sont plus efficaces,
La mobilité ou la stabilité articulaire est fortement réduite,
Une lésion traumatique nécessite une réparation rapide.
La décision se prend au cas par cas, après discussion entre le patient et un chirurgien orthopédiste, en s’appuyant sur un bilan clinique et radiologique.
Quelles complications peut-on trouver lors d'une chirurgie orthopédique ?
Comme toute chirurgie, il existe des risques, même s’ils sont rares :
Infections post-opératoires,
Thrombose veineuse profonde (TVP) ou embolie pulmonaire,
Hématome ou saignement,
Lésions nerveuses ou vasculaires,
Douleurs persistantes ou raideur articulaire,
Complications spécifiques aux prothèses : luxation, descellement ou usure à long terme.
Ces risques sont limités par une évaluation préopératoire complète et un suivi post-opératoire rigoureux.
Quelles sont les suites d'une chirurgie orthopédique ?
Les suites dépendent du type d’intervention réalisée :
Une arthroscopie simple peut se faire en ambulatoire,
Une chirurgie plus lourde (prothèse, arthrodèse) nécessite généralement plusieurs jours d’hospitalisation.
La rééducation débute rapidement pour restaurer la mobilité et renforcer la musculature. Un suivi médical régulier permet de contrôler la cicatrisation et l’évolution fonctionnelle. La reprise des activités quotidiennes se fait progressivement, selon la nature de la chirurgie et l’état de santé du patient.